•    J'ai 1000 choses à faire. Mais j'ai envie de ne rien faire.

       Je devrais travailler un peu. J'ai lu 2 pages en 3 semaines. Quelle performance!

       Je devrais faire le ménage. J'en fais un peu tout les jours mais apparement pas assez car c'est toujours le bordel.

       Je devrais sortir voir mes copines. Mais tout me soul.

       Je suis en vacance. Mais je n'en profite pas. Si c'est pas la honte ça!

      J'ai une théorie la-dessus. Moins on en fait, moins on a envie d'en faire. Plus on en fait, plus on a l'énergie d'en faire.

       Je crois aussi que le vide de mon existence me pèse. Pas de but, d'objectif. Pas de passion.

       Encore une de ces périodes où je me rend compte de la contingence de l'existence. Etant une éternelle optimiste, je sais que dans quelques jours, je serai de nouveau sur pied, pleine d'énergie, de motivation et d'idées créatrices et innovantes. Mais d'ici là, il ne me reste plus qu'à prendre mon mal en patience.


    1 commentaire
  •    Oh solitude!

       Ma connection internet, coupée! Pendant près de 3 semaines. Pendant des mois il peut ne rien se passer dans ma vie. Mais ces 3 semaines-là ont été bien remplies, d'émotions, de rires et de larmes. De joies et de consternation. De colères et de réconciliations. Bref, pour une fois que j'ai quelque chose de concret à vous raconter, et bien non. Plus de connection à un public virtuel et peut-être irréel. Peu importe.

       Je prends donc quelques jours pour remettre de l'ordre dans ma narration et je reviens vous raconter tout cela.


    1 commentaire
  •    Lundi 11 juin sera mon premier jour de vacance.

       Le jour où je prendrai mon destin en main. Je me rends compte que je suis une femme débordée par ne rien faire, dont l'intérieur ressemble plus à Pearl Harbour qu'à un cocon.

       Ma révolution ne commencera que le 11 juin caren attendant, je fais des listes et des plannings. Perte de temps paraît-il. Je sais, mais moi ça me rassure.

       L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.


    votre commentaire
  •    Je pensais être zen. Je pensais avoir les épaules larges.

       Pas tant que ça, apparement.

       Il faut avouer que depuis octobre je ne me suis pas ménagée. Entre le boulot, l'uni, j'ai de quoi faire. Mais je ne pensais pas que cela m'affectait réellement. Je viens juste de me rendre compte qu'en réalité, mes infrastructures sont toutes pourries.

       Depuis octobre je dors mal. Je suis donc fatiguée. Tout le temps. Alors je dors plus. Mais cela ne change rien! A croire que je continue à cogiter pendant mon sommeil.

       Depuis octobre je fume énormement. Malgrés mes tenatives et autres résolutions, je dois admettre ( à contre coeur) que ma moyenne tourne toujours autour de 2 paquets par jour.

       Je ne fais ni sport, ni méditation. Je ne prends pas soin de moi et je mange mal. Je n'ai pas de hobby, je ne vois plus mes amis, bref mon rôle au sein de cette société est aussi important que celui d'une étoile de mer au fond d'un aquarium. Purement décoratif.

       Mardi soir, j'ai craqué. Fort. J'étais au bout du rouleau, au fond du gouffre.

       Une journée pourrie, stressante, un appartement qui sens la mort, des factures non payées et un amoureux qui dîne avec ma pire ennemie. Selon lui : Les amis de mes ennemis sont mes ennemis.

       Je note.

       J'ai donc décidé de m'attaquer à ces fameuses infrastructures. Les renouveler, les assainir et surtout les solidifier. Un travail de fond. Un énorme chantier épuisant mais nécessaire.


    2 commentaires
  •      Vendredi, ma vie deviendra un 50 pour cent.

         Un travail d'attestation à rendre, une classe qui doit être prête à passer un oral et justement cet oral à préparer. Tout ça pour vendredi allez courage, une semaine sans dormir, finalement qu'est-ce que c'est? Pas grand chose pour les motivés, une semaine de sacrifice. Oui mais j'ai l'impression de ne dormir que la moitié de mes nuits depuis octobre.

         A côté de ça, placez un nouvel amour dont il faut prendre soin ( on ne voudrait tout de même pas qu'il se sente délaissé alors qu'on vient juste de commencer!), un mariage qui se prépare et dont il faut assurer une partie... Imaginez, je dois écrire un texte à réciter devant tout le monde... le trac me taraude déjà. Mes tenues sont prêtes mais pas celles de la mariée alors c'est la course. Et j'aime avoir une vie sociale.

         Après vendredi les cours passeront à 50 pour cent. Moins de travail, plus de grasse mat'. Ah oui bonheur, rien que l'idée de cette nouvelle vie me fait sourire et baver d'envie.

         Aller, plus qu'une semaine, 5 petits jours à fond. Métaphoriquement parlant j'ai toujours été une excellente sprinteuse... Mais une lamentable coureuse de fond...

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique