•      Je m'en veux...

         J'arrive au bout d'une des étapes de mes études. Je ne suis qu'à un petit travail de rien du tout. J'avais 3 mois pour le faire... Je dois le rendre mardi... Vous pensez bien que je n'ai même pas commencé...

         Je m'en veux...

         A chaque fois c'est la même histoire. Je n'y pense pas pendant un petit moment. Ensuite j'y pense. Oui mais il y a l'anniversaire de Machine... Et puis la soirée de Truc... Et y a des jours où j'ai pas envie...Et y a des jours où je suis pas en forme... Et y a des jours où j'ai pas le temps... Et y a des jours où y a des trucs bien à la télé... Et donc je n'ai pas commencé.

         Je m'en veux...

         Je stresse, je panique je m'affole... et au final, je m'en veux....


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  •      Un nouveau départ disais-je? Déjà une arrivée?

         Le sentiment du départ : l'excitation, l'inconnu, l'impatience.

         Le sentiment de l'arrivée : la finalité, le soulagement.

          Selon le contexte je ne sais plus si je préfère le départ ou l'arrivée. La sécurité d'une situation stable ou finalement vous avez vu tout ce qu'il y avait à voir et où il ne reste plus à présent qu'à s'installer. Bien sur tout fini par arriver à ce fameux point final. Un peu effrayant tout de même de se dire que jamais plus il n'y aura l'excitation du départ. Et je commence à me dire que petit à petit tous les domaines de ma vie arrive à leur terme.

         Mais pas de fin sans commencement, non?


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  •      Affreuse!

         Je suis immonde! C'est la fête du travail et je dois admettre que c'est le genre de chose que je sais bien fêter. Une bonne grasse matinée pour commencer. Et puis je me suis dis : On t'offre un jour, profites en pour prendre soin de toi.

         Alors je me lève d'un pas léger. Je me plante devant mon mirroir. Et là, la réalité crue. Ceci n'est pas métaphorique. La réalité crue et sanguinolante.

         Le cheveux gras, l'oeil tombant et noir, le dos courbé et le teint blafard. Mmmh... Très...attractif, dirais-je. Limite envie de retourner me coucher. Mais je me dois d'être forte. Nous avons fait un pacte avec ma copine Amy. Le but? Rivaliser avec les filles des magazines cet été. Ce qui va me valoir pas mal de War Days. Alors que l'idée ne serait-ce que d'une goutte d'eau sur ma peau me révulse, je prends mon courage et ma motivation à deux et de ce pas, je vous quitte pour me rendre figure humaine en commençant par une douche éclaire.


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  •      Je crois que c'est ce qu'on appelle la mélancolie. Je détéste ce sentiment. Cette impression qu'on avance au ralenti parce ce qu'on fait n'est pas important. N'a rien à voir avec ce qu'on désir. J'ai envie de contacts. Je veux voir, rencontrer des gens. Peut-être un besoin de tendresse simplement?

         A la place, j'ai préparé ma rentrée. Fait le ménage, trier et classer la paperasse. Je suis à présent organisée (autant que je puisse l'être), prête à reprendre du service. Et Dieu sait que j'en ai besoin. Ce semestre s'annonce rude et rugueux.

        Et pourtant je n'attends qu'une seule chose. Pouvoir allumer mon lecteur dvd. Mettre en marche Grey's Anatomy. Pourquoi? Parce qu'en ce moment je vis par procuration.

        En réalité je suis perdue. J'ai l'impression que je fais mon boulot de travers. Que je ne comprends rien à mes études. Que je suis en marge du monde. Et j'ai la peau grasse.


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  •    Ah ah! Après quelques mois de célibat, je me sens sensationelle. I'm gorgeous. Me voilà redevenue la Peanut de tous les jours. Mes amours sont au point mort. Mais je plais, c'est un fait. Et cela fait du bien à mon ego. Alors de ce côté-là, je me laisse vivre. Je recommence à avoir une vie sociale. Je n'étais plus vraiment habituée au bruit et au monde des bars. J'y reprend goût petit à petit.

       Alors, on fait quoi samedi soir?


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